Le réseau Hartmann

Dans le début des années 1950, le docteur allemand Ernst Hartmann (1915-1992), poursuivant les travaux du docteur français François Peyré, a mis en évidence l’existence d’un réseau dit global, que l’on retrouve sur toute la surface de la terre.

C’est un réseau dit cardinal car il est orienté Nord-Sud/Est-Ouest avec des cloisons qui font respectivement 2 m et 2.50 m de longueur, et une épaisseur d’environ 21 cm.

De nature électrique, est semblable à un immense filet d’un quadrillage de dimensions apparemment fixes, mais qui se déforme en fonction des charges d’électrons qu’il rencontre sur son passage.

Il est constitué d’ondes montantes de nature électrique provenant de la friction entre le manteau interne et externe terrestre.

Le champ électrique de ce réseau peut perturber le fonctionnement bioélectrique du corps et provoquer des désordres tels que des crampes et des fibromyalgies.

En zone neutre ces cloisons sont inoffensives. Le croisement de deux cloisons verticales, appelées aussi « Nœuds 2 D » sont eux aussi inoffensifs, sauf s’ils sont situés sur un courant d’eau souterrain. Dans ce cas, ce nœud 2 D devient agressif parce qu’il potentialise les charges d’électrons générés par le cours d’eau.

Séjourner une longue période sur la superposition d’un nœud Hartmann et d’une veine d’eau provoque des migraines, des vomissements et des cancers.

Le croisement d’une cloison horizontale avec deux cloisons verticales constituent un nœud 3D, qui est extrêmement nocif seul.

Sa superposition avec les autres nœuds du réseau Curry et/ou du réseau Grand diagonal, engendre un « Point étoile », extrêmement nocif et dangereux.