au service de la Santé
La friction de l’eau contre les parois de le la roche génère une différence de potentiel électrique (ddp) que l’on peut mesurer en surface à la verticale des rives du cours d’eau.
En effet, la ddp peut varier de 10mV au dessus d’un courant d’eau, à 100mV au niveau des rives.
L’impact du cours d’eau sera d’autant plus fort que le débit est important, sa pente est forte, sa profondeur faible et que le sous-sol est compacté.
Lorsque le corps reste à l’immobile au dessus d’un courant d’eau souterrain, les cellules du corps sont stressées.
En effet, toute cellule vivante constituée d’un noyau (chargé positivement) baigné dans une masse de protoplasma (chargé négativement), constitue un circuit oscillant de très courte longueur d’onde.
Les cellules sont donc de minuscules piles électriques qui, lorsqu’elles sont soumises à un champ électrique extérieur, se mettent à vibrer sur la fréquence de ce champ : un phénomène d’induction apparaît.
Le rythme oscillatoire naturel de la cellule se met alors à correspondre à celui du champ électrique.
Elle perd ainsi son équilibre oscillatoire naturel ce qui peut entraîner des difficultés à atteindre certains seuils propices à la détente et à un bon sommeil réparateur :
Un champ électrique peut donc : affecter l’équilibre nerveux tout comme le rythme cérébral.
Il pénètre peu profondément dans le corps mais peut provoquer des tensions nerveuses, des problèmes cutanés et des insomnies.
La fatigue persistante au réveil est un symptôme récurrent chez les personnes dormant au dessus d’un cours d’eau souterrain.
Le professeur Robert Endrös et son assistant Karl Ernst Lotz , démontrent que le système hormonal est particulièrement perturbé à l’aplomb des veines d’eau souterraines :
L’analyse du spectre d’intensité du rayonnement naturel de micro-ondes émises par les glandes endocrines d’une personne placée à la verticale d’un cours d’eau souterrain révèle des modifications de l’activité des glandes endocrines:
Aller plus loin en lisant le livre « Le rayonnement de la terre et son influence sur la vie », du professeur Robert Endrös et son assistant Karl Ernst Lotz.
« Les agressions géopathogènes ne s’additionnent pas, elles se multiplient entre elles ». Alain de Luzan.