Soins énergétiques – enfants

Lors de la séance d’équilibre énergétique, l’enfant va communiquer, via son corps énergétique, avec le bioénergéticien.

Le bioénergéticien va recevoir des informations précises sur l’origine des troubles et le moyen de corriger le désordre en profondeur.

Ainsi, en travaillant sur les causes sous-jacentes aux symptômes, l’enfant va retrouver un équilibre vibratoire et énergétique qui va favoriser son auto-guérison à tous les niveaux : énergétique, émotionnel, psychique et physique.

Parfois, un accompagnement spécifique est nécessaire en complément, pour aider l’enfant sur une thématique précise.

Les troubles chez l’enfant

  • Endormissements difficiles
  • Réveils nocturnes récurrents
  • Fatigue chronique, pas de récupération optimale au réveil
  • Cauchemars, agitation et terreurs nocturnes
  • Crises affectives, anxiété, angoisse, stress, hypersensibilité
  • Difficultés alimentaires, refus de manger, alimentation trop sélective
  • Troubles autistiques, troubles psychomoteurs
  • Troubles de l’attention
  • Encoprésie, retard ou difficulté à évacuer les selles (constipation)

In utéro :

Le fœtus en cours de développement ressent les émotions de sa maman. Dans le cas où la maman vit elle même une difficulté psycho émotionnelle importante, alors cela peut impacter le fœtus et engendrer certains types de réactions par la suite pour le nouveau né.

Exemple : Un enfant de 2 ans à un sommeil très perturbé avec un endormissement difficile et des réveils nocturnes ainsi qu’un comportement nerveux

Au 7 -ème mois de la grossesse, le père fait une tentative de suicide qui impacte fortement l’équilibre psycho- émotionnel de la mère. Suite à cela, les problèmes relationnels avec le père perdurent et s’accentuent. Le fœtus prend sur lui le traumatisme de sa mère. Il ressent les émotions de désespoir et de chagrin de sa mère. Le thymus et l’hypothalamus seront impactés.

Une action au niveau hormonal est alors demandée pour rétablir le bon fonctionnement de ces 2 glandes endocrines. Le rétablissement d’une cohérence vibratoire et l’effacement des mémoires négatives permet à l’enfant de ne plus être sous l’influence de ce traumatisme inconscient qui ne lui appartient pas.

Il trouve alors un sommeil apaisé.

Autre exemple : une petite fille de 2 ans avec des réveils nocturnes, une difficulté à la coucher, nerveuse et colérique (surtout vis à vis de la maman)

Le dialogue avec l’enfant permet de cibler un premier traumatisme vécu pendant la grossesse. Il s’avère que la maman ne souhaitait pas vivre une seconde grossesse aussi tôt car déjà occupée avec son premier enfant. Cette seconde grossesse est jugée prématurée, l’enfant à venir n’est pas désiré, la joie n’est pas au rendez-vous. Le fœtus vit cela comme une agression psy ce qui affecte le thymus, la thyroïde et l’hypothalamus.

La colère dirigée vers la mère provient de là. Cette colère inconsciente va perturber le méridien du foie (l’énergie perverse de l’élément BOIS en MTC est justement la colère). Or, le foie est actif de 1 h à 3 h du matin, ce qui explique les réveils nocturnes récurrents sur ce créneau horaire.

De plus, l’enfant a inconsciemment associé l’énergie de la mère à une agression. Or cette agression n’est plus présente mais toujours active (d’où l’état colérique vis à vis de la mère). Il s’agit d’une agression virtuelle. Un travail spécifique permet de lever cette confusion dans le cerveau de l’enfant.

Le nettoyage de cette mémoire, et la remise à l’heure du Foie permet de lever la colère, de nettoyer la mémoire émotionnelle de déprime. La petite fille suite à la séance trouve enfin un sommeil équilibré. Les colères envers la mère disparaissent.

Parfois, la simple remise à l’heure de l’organe permet à l’enfant de retrouver rapidement un sommeil équilibré.

Un protocole dédié à la relation Mère-Enfant permet de corriger les éventuelles pertes d’harmonies et de restaurer une relation équilibrée entre la mère et son enfant.

A la naissance et dans les jours suivant la naissance :

La naissance peut être un moment traumatisant pour le bébé. En effet, il va ressentir l’énergie de ceux et celles qui l’accueillent.

  • Dans le cas où l’enfant n’est pas désiré, ou que le sexe de l’enfant ne correspond pas au désir du parent, cela peut générer une forme de tristesse chez le bébé, engendrant dès lors un premier désordre. On parle de traumatisme psycho-émotionnel inconscient.

Dans les jours suivant la naissance, de très nombreuses situations peuvent s’avérer traumatisantes pour le jeune enfant.

  • Il peut se sentir agresser par l’énergie malveillante d’une personne. On parle d’agression relationnelle psychique.
  • L’enfant peut également subir un attouchement sexuel non consenti ou de la violence physique. On parle alors de traumatisme sexuel sans consentement et d’agression relationnelle physique .
  • L’enfant peut vivre un traumatisme précis corrélatif à une situation difficile. Le traumatisme se mémorise dans l’inconscient et continue d’agir aux dépends de l’enfant.
  • L’enfant peut se sentir agressé par des éléments qui se trouvent dans sa chambre (dessins, énergies spécifiques), même si ces éléments ne sont pas en soit une forme d’agression. On parle d’agression virtuelle.
  • L’enfant peut aussi être réellement agressé par un élément dans son entourage. Le bilan ACMOS permettra de cibler l’élément perturbant et de soustraire l’enfant à cette agression réelle présente.
  • L’enfant peut aussi interpréter comme une agression réelle des éléments qui l’ont été dans le passé mais plus aujourd’hui. On parle d’agression virtuelle.
  • L’enfant peut se sentir agressé par une pollution électro-magnétique trop intense générée par une antenne relais à proximité ou une ligne haute tension. On parle alors d’agression ambiante EM.
  • Le lit de l’enfant peut se situer sur une zone géopathogène (un croisement de courant d’eau souterrain, un rayonnement gamma, un nœud curry, etc.). On parle d‘agression géobiologique.
  • Liste non exhaustive.

Il y a de très nombreux facteurs potentiels de perturbations, que le bilan ACMOS permettra d’identifier précisément.

Exemple : Un enfant de 2 ans 1/2 fait des crises de colères excessives

A l’âge de 8 mois, il y a un déménagement dans un nouveau département. Ce changement de maison est mal vécu par l’enfant, mais il ne sait pas encore l’exprimer en mots.

De plus, dans ce nouvel environnement, un champ de hautes fréquences émis par une antenne relais à proximité agresse l’enfant insidieusement.

Ces deux facteurs conjugués vont favoriser l’apparition d’une nervosité exacerbée, d’une hyperexcitation, ainsi que des crises de colères quotidiennes.

En travaillant sur l’origine des perturbations et redonnant une bonne cohérence vibratoire, en une séance, son comportement change radicalement. Les crises disparaissent et l’enfant devient calme et agréable.

Exemple : Une enfant de 4 ans, avec fatigue, agitation, sommeil perturbé, et trouble alimentaire (ne veut rien manger)

Un premier traumatisme psychique a eu lieu à l’âge de 1 mois. La maman s’est absentée pendant 2 jours, ce qui a marqué la petite fille et engendré un stress important chez elle. Le méridien de l’Intestin grêle est en excès d’énergie et décalé au niveau de la grande circulation énergétique. Une remise à l’heure de cet organe et le nettoyage des mémoires associées permet de lever la problématique de manque d’appétit.

Le second traumatisme est consécutif à une gastroentérite de 1 semaine (vomissements et arrêt ingestion nourriture), à l’âge de 2 ans. Cette maladie est vécu comme un traumatisme psychique également, second facteur de perturbation de l’équilibre alimentaire. Un travail spécifique au niveau psy permet de lever le blocage inconscient. L’enfant retrouve l’appétit une semaine suite à la séance.

Autre exemple : Une enfant de 7 ans, avec un trouble alimentaire (refus de manger des morceaux de nourriture)

Le trouble alimentaire s’est déclaré suite à une fausse route vécu par l’enfant à l’âge de 6 ans. L’enfant s’est étouffé à cette occasion. Le fond de gorge a été impacté. Il s’agit d’une agression nutritionnelle.

Suite au bilan, il s’avère que cette situation a été traumatisante pour la petite fille au point d’associer inconsciemment la nourriture (notamment les morceaux) à une potentielle agression physique, ce qui explique le refus. Il s’agit là d’un sentiment d’agression virtuelle car l’agression est passée.

Un travail spécifique pour lever la confusion dans le cerveau permet de changer la perception de la nourriture et lever la paranoïa associée. Un mois plus tard l’enfant mange de nouveau correctement.



Une séance d’équilibre énergétique ACMOS en traitement à distance permet d’identifier les causes des désordres et d’agir précisément pour rétablir l’équilibre global de l’enfant et améliorer son bien-être.