au service de la Santé
Les réseaux telluriques (= de la Terre), de natures, de tailles et d’orientations différentes, créés un quadrillage électromagnétique complexe tout autour de nous.
Ces cloisons électromagnétiques, proviennent de la friction entre le noyau interne solide de la terre (composé de fer et de nickel) et son manteau externe semi-liquide (de même composition que la graine).
L’effet « dynamo » résultant de la rotation terrestre engendre donc une friction entre la graine et son enveloppe externe et va entraîner une abrasion d’électrons. Ces électrons vont fuser jusqu’à la haute atmosphère, créant ainsi des réseaux de nature électrique (réseaux Hartmann et Grand Diagonal notamment).
Ce champ électrique terrestre va à son tour engendrer le champ magnétique terrestre qui constitue le bouclier magnétique terrestre (= ceintures de Van Allen) protégeant la terre des corpuscules (protons, neutrons et électrons) en provenance du soleil.
Ce champ magnétique se traduit par des réseaux de nature magnétique (le réseau curry).
Les discontinuités du sol, autrement appelées failles, qu’elles soient humides ou sèches, sont des passages de moindre résistance par lesquels s’échappe et fuse un rayonnement radioactif provenant des profondeurs de la Terre: le rayonnement Gamma.
Le rayonnement gamma est extrêmement agressif: il est ionisant car il a la particularité d’arracher des électrons à la matière qu’il traverse. Sa puissance est de 10.21 Hertz! C’est lui qui est responsable de certaines fissures que l’on voit lézardées les murs.
Ces failles canalisent également la diffusion de gaz radioactifs qui proviennent de roches émissives (granite) et de la décomposition du radium et de l’actinium contenus dans le sol: le radon 222 et l’actinon.
Les courants d’eau souterrains sont des failles dans lesquelles circulent de l’eau. La friction de l’eau avec les parois provoquent une onde de rive électromagnétique qui se mesure en surface par une différence de potentiel électrique (ddp). On observe une ddp de 10 mV (au dessus du cours d’eau), à 100 mV (au niveau des rives).
Ces multiples phénomènes peuvent interagir entre eux et amplifier leurs impacts sur la biologie. Certaines zones très localisées sont dites géopathogènes. Elles provoquent, à moyen et long terme, des pathologies plus ou moins graves, selon l’intensité du phénomène et la durée d’exposition à ces agressions « invisibles ».
» Celui qui veut se perfectionner dans l’art de guérir considérera comment l’endroit est disposé et s’informera du sous-sol, concurremment avec la constitution des êtres vivants ».
Déclaration d’Hippocrate, en 430 avant J.-C. (Traité des Airs, des Eaux et des Lieux).